Collection
Climat Carelle sous La Chapelle
L’appellation : 132 ha 54 a.
Le climat : 3 ha 73 a 15 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Depuis des siècles, on dit que la joie était la devise des vins délicats de Volnay. Voilà sans doute pourquoi le sombre Louis XI se fit expédier en 1477, toute la récolte des Volnay de l’année. Il avait certainement su en deviner les qualités de bonne humeur et de jouvence.
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Carrelle sous la Chapelle viendrait du latin quadrus et de l’ancien français quarrel qui signifie carré. La forme de la parcelle se rapprocherait donc d’un carré.
Un bon millésime. Le gel a sévi de Noël au 17 janvier, favorisant ainsi le repos de la vigne tout en la préservant de maladies. Un soleil sans excès de chaleur a accompagné les vendanges à partir du 19 septembre, ce qui a maintenu un bon équilibre sucre-acidité des raisins. La richesse des moûts était comprise entre 12 et 14° naturels. Ce millésime 1997 a donné des vins accessibles au fruité de bonne intensité, avec une texture veloutée et souple.
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Climat Les Gravières
L’appellation : 109 ha 69 a.
Le climat : 23 ha 39 a 59 ca.
Partagé en quatre zones habitées, Santenay-le-Haut, Santenay-le-Bas, La Crée et Saint-Jean, le village offre une vue panoramique unique sur le Mont de Sène appelé aussi Montagne des Trois Croix. Son église du XIIIe siècle Saint Jean de Narosse est réputée pour son architecture romane. Depuis 1968, Santenay se partage entre thermalisme et viticulture.
Nommé Sentennacus en 858, Santenay tiendrait son nom d’une personnalité latine Sentius ou d’un dérivé de sanctus, un lieu sacré à l’époque pré-chrétienne.
Les Gravières vient du latin grava qui a donné en français gravier.
Ce millésime a su combiner qualité et quantité. Il est entré dans la série des grandes années de Bourgogne, aux côtés, notamment, du 1959. Peu de pluie toute l’année, un hiver doux, un printemps froid, un été chaud avec des températures oscillant de 28 à 35°C, du vent du nord en continu à partir de septembre : toutes ces conditions réunies ont donné des raisins parfaitement sains et mûrs. Les vins concentrés, structurés et avec une bonne acidité étaient taillés pour la garde.
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Climat Les Santenots
L’appellation : 132 ha 54 a.
Les lieux-dits : 15 ha 64 a 83 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Depuis des siècles, on dit que la joie était la devise des vins délicats de Volnay. Voilà sans doute pourquoi le sombre Louis XI se fit expédier en 1477, toute la récolte des Volnay de l’année. Il avait certainement su en deviner les qualités de bonne humeur et de jouvence.
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Santenots pourrait venir d’un patronyme de propriétaire.
Un très beau millésime pour les vins rouges malgré une année capricieuse avec un mois de mai pluvieux, un mois de juin très chaud avec des pluies orageuses abondantes qui durèrent en juillet. À la mi-juillet, une période de sécheresse s’est installée freinant la maturité jusqu’à début septembre où la pluie enfin arrivée favorisa une bonne maturité des raisins en parfait état sanitaire. Les vendanges ont débuté autour du 20 septembre. Les rouges avaient de la puissance et des tanins solides pour une très longue garde
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Climat Clos des Chênes
L’appellation : 132 ha 54 a.
Le climat : 15 ha 40 a 85 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Typique de la Bourgogne viticole, il aligne confortables demeures bourgeoises aux tuiles vernissées et solides maisons de vignerons où la cave s’ouvre sous un perron et une volée d’escaliers avec leurs murs crêtés d’un chaperon de pierres grises et plates appelées « laves ».
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Clos des Chênes vient de l’ancien français chasne devenu chesne puis chêne.
Un grand millésime pour les vins rouges. L’année a connu une vague de froid en janvier et en février, qui rappela celle de 1956, avec des pointes à -20°C. Après un printemps doux et un été sec, septembre très ensoleillé et sec a été capital pour la maturité des raisins. Les vendanges ont commencé le 27 septembre donnant une récolte importante de pinot noir. Les vins étaient concentrés avec des tanins d’une grande finesse.
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Climat Les Grèves
L’appellation : 277 ha 74 a.
Le climat : 31 ha 33 a 30 ca.
Située au cœur du vignoble, Beaune est sans conteste sa capitale. Elle abrite des siècles d’histoire avec des trésors d’architecture et d’art dont l’Hôtel-Dieu du XVe siècle est l’un des joyaux. Presque tout le sous-sol de la ville abrite un labyrinthe de caves souterraines.
Beaune viendrait de Belenos, dieu gaulois assimilé à Apollon par les Romains. La localité devait être un lieu de culte de ce dieu. Belenos signifie également brillant et Beaune serait alors à rapprocher d’un hydronyme : (les eaux) claires.
Les Grèves vient du latin grava qui a donné gravier, grève désigne aussi un terrain sablonneux favorable à la culture de la vigne.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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L’appellation : 115 ha 82 a.
Le village de Pommard est situé entre Beaune et Volnay. À cet endroit, la Côte de Beaune s’incline légèrement du côté d’Autun. Les belles demeures et le bâti religieux indiquent que la terre a appartenu aux Ducs de Bourgogne, à de vieilles familles comme les Marey-Monge et bien sûr aux moines de Cîteaux.
Polmarcus en 885, Pommard viendrait sans doute d’un patronyme gaulois Polmarcos.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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Climat Les Pruliers
Territoire
L’appellation : 136 ha 32 a.
Les climats : 7 ha 11 a 73 ca.
Gui Crescent Fagon, médecin du roi Soleil, conseilla à Louis XIV de consommer exclusivement du vin rouge, du « vieux Nuits », pour le guérir de sa goutte. La santé du roi s’améliora et la notoriété de Nuits-Saint-Georges alla crescendo.
Nuits vient de l’ancien Nuis qui serait un patronyme.
Le nom de Saint-Georges vient du IVe siècle lorsque Philibert de Mollans aurait ramené à Nuits les reliques de Georges de Lydda, martyr chrétien. Saint-Georges est devenu un saint patron de la Bourgogne.
Les Pruliers vient de prunier. Ce climat abritait en des temps lointains des arbres fruitiers.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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L’appellation : 16 ha 84 a.
Le climat : 4 ha 56 a 93 ca.
Jules Lavalle l’avait classé en « Première Cuvée » dans son classement de 1855. On estime à cette époque que « le vin du Clos de la Roche vaut celui du Clos de Tart ». Consacré Grand Cru par le décret du 8 décembre 1936, le Clos de la Roche comprend plusieurs climats : Les Fremières, Les Froichots, Les Mochamps, Les Chabiots et le bas des Monts-Luisants. En 1971, sont rajoutés par décret Genavrières et Chaffots.
Sur la commune de Morey-Saint-Denis, le nom de Clos de la Roche aurait deux origines. La première viendrait de sa situation topographique car le climat est situé « sur la roche ». La deuxième viendrait de « pierre vivante », en hommage à un dolmen gaulois disparu et voué à la célébration d’un culte druidique ou celtique.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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l'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
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Climat Carelle sous La Chapelle
L’appellation : 132 ha 54 a.
Le climat : 3 ha 73 a 15 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Depuis des siècles, on dit que la joie était la devise des vins délicats de Volnay. Voilà sans doute pourquoi le sombre Louis XI se fit expédier en 1477, toute la récolte des Volnay de l’année. Il avait certainement su en deviner les qualités de bonne humeur et de jouvence.
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Carrelle sous la Chapelle viendrait du latin quadrus et de l’ancien français quarrel qui signifie carré. La forme de la parcelle se rapprocherait donc d’un carré.
Un bon millésime. Le gel a sévi de Noël au 17 janvier, favorisant ainsi le repos de la vigne tout en la préservant de maladies. Un soleil sans excès de chaleur a accompagné les vendanges à partir du 19 septembre, ce qui a maintenu un bon équilibre sucre-acidité des raisins. La richesse des moûts était comprise entre 12 et 14° naturels. Ce millésime 1997 a donné des vins accessibles au fruité de bonne intensité, avec une texture veloutée et souple.
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Climat Les Gravières
L’appellation : 109 ha 69 a.
Le climat : 23 ha 39 a 59 ca.
Partagé en quatre zones habitées, Santenay-le-Haut, Santenay-le-Bas, La Crée et Saint-Jean, le village offre une vue panoramique unique sur le Mont de Sène appelé aussi Montagne des Trois Croix. Son église du XIIIe siècle Saint Jean de Narosse est réputée pour son architecture romane. Depuis 1968, Santenay se partage entre thermalisme et viticulture.
Nommé Sentennacus en 858, Santenay tiendrait son nom d’une personnalité latine Sentius ou d’un dérivé de sanctus, un lieu sacré à l’époque pré-chrétienne.
Les Gravières vient du latin grava qui a donné en français gravier.
Ce millésime a su combiner qualité et quantité. Il est entré dans la série des grandes années de Bourgogne, aux côtés, notamment, du 1959. Peu de pluie toute l’année, un hiver doux, un printemps froid, un été chaud avec des températures oscillant de 28 à 35°C, du vent du nord en continu à partir de septembre : toutes ces conditions réunies ont donné des raisins parfaitement sains et mûrs. Les vins concentrés, structurés et avec une bonne acidité étaient taillés pour la garde.
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Climat Les Santenots
L’appellation : 132 ha 54 a.
Les lieux-dits : 15 ha 64 a 83 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Depuis des siècles, on dit que la joie était la devise des vins délicats de Volnay. Voilà sans doute pourquoi le sombre Louis XI se fit expédier en 1477, toute la récolte des Volnay de l’année. Il avait certainement su en deviner les qualités de bonne humeur et de jouvence.
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Santenots pourrait venir d’un patronyme de propriétaire.
Un très beau millésime pour les vins rouges malgré une année capricieuse avec un mois de mai pluvieux, un mois de juin très chaud avec des pluies orageuses abondantes qui durèrent en juillet. À la mi-juillet, une période de sécheresse s’est installée freinant la maturité jusqu’à début septembre où la pluie enfin arrivée favorisa une bonne maturité des raisins en parfait état sanitaire. Les vendanges ont débuté autour du 20 septembre. Les rouges avaient de la puissance et des tanins solides pour une très longue garde
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Climat Clos des Chênes
L’appellation : 38 ha 06 a.
Les lieux-dits :
Les Hautées : 8 ha 02 a 89 ca.
La Macabrée : 5 ha 65 a 80 ca.
Le village est situé à l’entrée de la vallée qui s’enfonce dans les Hautes Côtes depuis la Côte de Beaune sur la route de la Rochepot et d’Autun. Il a cette particularité de regrouper en son sein les hameaux d’Auxey-le-Grand, Petit-Auxey et Melin. Ce dernier était un site druidique important à l’époque gallo-romaine. Puis au VIIe siècle, les moines de Saint-Symphorien d’Autun apportèrent une nouvelle prospérité. Les moines de Cluny ont pris la suite au Xe siècle faisant d’Auxey-Duresses une riche dépendance agricole avec des moulins à grains et des pressoirs à raisins.
Auxey vient du latin Alcius devenu Aucey puis Aucé, rattaché sans doute à un Gallo-Romain. Il évoque aussi Alise ou falaise, le site du village s’y prête. Le nom de climat Duresses lui a été accolé, son origine n’a pas été identifiée.
Les Hautées est en relation avec la toponymie du lieu.
La Macabrée vient de marais pour évoquer un terrain où il y poussait autrefois des roseaux.
Notre vin provient de vignes de 2 parcelles âgées d’environ 40 ans situées aux lieux-dits Les Hautées et La Macabrée et touchant le village de Meursault. Exposées au nord-est et à une altitude de 280 à 300 mètres, elles reposent sur des sols bruns calcaires de 40 à 60 centimètres d’épaisseur, riches en pierres, résultant de l’altération des Calcaires de Dijon-Corton (ou Grenu) et des Calcaires de Ladoix (ou Dalle Nacrée).
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Climat Les Grèves
L’appellation : 277 ha 74 a.
Le climat : 31 ha 33 a 30 ca.
Située au cœur du vignoble, Beaune est sans conteste sa capitale. Elle abrite des siècles d’histoire avec des trésors d’architecture et d’art dont l’Hôtel-Dieu du XVe siècle est l’un des joyaux. Presque tout le sous-sol de la ville abrite un labyrinthe de caves souterraines.
Beaune viendrait de Belenos, dieu gaulois assimilé à Apollon par les Romains. La localité devait être un lieu de culte de ce dieu. Belenos signifie également brillant et Beaune serait alors à rapprocher d’un hydronyme : (les eaux) claires.
Les Grèves vient du latin grava qui a donné gravier, grève désigne aussi un terrain sablonneux favorable à la culture de la vigne.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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L’appellation : 115 ha 82 a.
Le village de Pommard est situé entre Beaune et Volnay. À cet endroit, la Côte de Beaune s’incline légèrement du côté d’Autun. Les belles demeures et le bâti religieux indiquent que la terre a appartenu aux Ducs de Bourgogne, à de vieilles familles comme les Marey-Monge et bien sûr aux moines de Cîteaux.
Polmarcus en 885, Pommard viendrait sans doute d’un patronyme gaulois Polmarcos.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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Climat Les Pruliers
Territoire
L’appellation : 136 ha 32 a.
Les climats : 7 ha 11 a 73 ca.
Gui Crescent Fagon, médecin du roi Soleil, conseilla à Louis XIV de consommer exclusivement du vin rouge, du « vieux Nuits », pour le guérir de sa goutte. La santé du roi s’améliora et la notoriété de Nuits-Saint-Georges alla crescendo.
Nuits vient de l’ancien Nuis qui serait un patronyme.
Le nom de Saint-Georges vient du IVe siècle lorsque Philibert de Mollans aurait ramené à Nuits les reliques de Georges de Lydda, martyr chrétien. Saint-Georges est devenu un saint patron de la Bourgogne.
Les Pruliers vient de prunier. Ce climat abritait en des temps lointains des arbres fruitiers.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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L’appellation : 16 ha 84 a.
Le climat : 4 ha 56 a 93 ca.
Jules Lavalle l’avait classé en « Première Cuvée » dans son classement de 1855. On estime à cette époque que « le vin du Clos de la Roche vaut celui du Clos de Tart ». Consacré Grand Cru par le décret du 8 décembre 1936, le Clos de la Roche comprend plusieurs climats : Les Fremières, Les Froichots, Les Mochamps, Les Chabiots et le bas des Monts-Luisants. En 1971, sont rajoutés par décret Genavrières et Chaffots.
Sur la commune de Morey-Saint-Denis, le nom de Clos de la Roche aurait deux origines. La première viendrait de sa situation topographique car le climat est situé « sur la roche ». La deuxième viendrait de « pierre vivante », en hommage à un dolmen gaulois disparu et voué à la célébration d’un culte druidique ou celtique.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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Climat Carelle
sous La Chapelle
L’appellation : 132 ha 54 a.
Le climat : 3 ha 73 a 15 ca.
Le village est perché, étroit et pentu sur la Côte de Beaune. Depuis des siècles, on dit que la joie était la devise des vins délicats de Volnay. Voilà sans doute pourquoi le sombre Louis XI se fit expédier en 1477, toute la récolte des Volnay de l’année. Il avait certainement su en deviner les qualités de bonne humeur et de jouvence.
Volnay se nommait Volenay en 1160. Le nom viendrait d’un patronyme latin Volumnius mais il pourrait aussi avoir une origine celtique avec vol qui évoque l’idée de rond, le village étant situé en effet dans un cirque.
Carrelle sous la Chapelle viendrait du latin quadrus et de l’ancien français quarrel qui signifie carré. La forme de la parcelle se rapprocherait donc d’un carré.
Un bon millésime. Le gel a sévi de Noël au 17 janvier, favorisant ainsi le repos de la vigne tout en la préservant de maladies. Un soleil sans excès de chaleur a accompagné les vendanges à partir du 19 septembre, ce qui a maintenu un bon équilibre sucre-acidité des raisins. La richesse des moûts était comprise entre 12 et 14° naturels. Ce millésime 1997 a donné des vins accessibles au fruité de bonne intensité, avec une texture veloutée et souple.
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Climat Les Gravières
L’appellation : 109 ha 69 a.
Le climat : 23 ha 39 a 59 ca.
Partagé en quatre zones habitées, Santenay-le-Haut, Santenay-le-Bas, La Crée et Saint-Jean, le village offre une vue panoramique unique sur le Mont de Sène appelé aussi Montagne des Trois Croix. Son église du XIIIe siècle Saint Jean de Narosse est réputée pour son architecture romane. Depuis 1968, Santenay se partage entre thermalisme et viticulture.
Nommé Sentennacus en 858, Santenay tiendrait son nom d’une personnalité latine Sentius ou d’un dérivé de sanctus, un lieu sacré à l’époque pré-chrétienne.
Les Gravières vient du latin grava qui a donné en français gravier.
Ce millésime a su combiner qualité et quantité. Il est entré dans la série des grandes années de Bourgogne, aux côtés, notamment, du 1959. Peu de pluie toute l’année, un hiver doux, un printemps froid, un été chaud avec des températures oscillant de 28 à 35°C, du vent du nord en continu à partir de septembre : toutes ces conditions réunies ont donné des raisins parfaitement sains et mûrs. Les vins concentrés, structurés et avec une bonne acidité étaient taillés pour la garde.
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Climat Les Santenots
L’appellation : 116 ha 99 ca.
Le climat : 5 ha 21 a 02 ca.
Le village se situe au sud de la Côte de Beaune. Gros bourg à l’époque gallo-romaine, il a subi la guerre entre le Duché de Bourgogne et le Royaume de France et a été incendié en 1476. Son renouveau doit beaucoup aux moines de Cluny qui remirent le village et le vignoble en valeur.
Appelé Cassanae en 886, nom dérivé de cassanus, chêne en roman. Le nom de Montrachet lui a été accolé, il pourrait signifier « Mont de l’Épervier » ou encore « Mont Pelé » : cité comme « Mont Rachaz » en 1742, seuls des buissons y poussaient à l’époque.
Les Vergers trouve son origine dans la culture fruitière répandue au Moyen-Âge.
Notre vin provient de vignes âgées de 50 ans, situées sur la commune de Chassagne-Montrachet dans le climat Les Vergers. Avec une exposition à l’est et à une altitude de 255 à 270 mètres, elles reposent sur les Calcaires de Chassagne, massifs et résistant à l’érosion, donnant des sols bruns peu profonds.
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Climat Clos des Chênes
L’appellation : 38 ha 06 a.
Les lieux-dits :
Les Hautées : 8 ha 02 a 89 ca.
La Macabrée : 5 ha 65 a 80 ca.
Le village est situé à l’entrée de la vallée qui s’enfonce dans les Hautes Côtes depuis la Côte de Beaune sur la route de la Rochepot et d’Autun. Il a cette particularité de regrouper en son sein les hameaux d’Auxey-le-Grand, Petit-Auxey et Melin. Ce dernier était un site druidique important à l’époque gallo-romaine. Puis au VIIe siècle, les moines de Saint-Symphorien d’Autun apportèrent une nouvelle prospérité. Les moines de Cluny ont pris la suite au Xe siècle faisant d’Auxey-Duresses une riche dépendance agricole avec des moulins à grains et des pressoirs à raisins.
Auxey vient du latin Alcius devenu Aucey puis Aucé, rattaché sans doute à un Gallo-Romain. Il évoque aussi Alise ou falaise, le site du village s’y prête. Le nom de climat Duresses lui a été accolé, son origine n’a pas été identifiée.
Les Hautées est en relation avec la toponymie du lieu.
La Macabrée vient de marais pour évoquer un terrain où il y poussait autrefois des roseaux.
Notre vin provient de vignes de 2 parcelles âgées d’environ 40 ans situées aux lieux-dits Les Hautées et La Macabrée et touchant le village de Meursault. Exposées au nord-est et à une altitude de 280 à 300 mètres, elles reposent sur des sols bruns calcaires de 40 à 60 centimètres d’épaisseur, riches en pierres, résultant de l’altération des Calcaires de Dijon-Corton (ou Grenu) et des Calcaires de Ladoix (ou Dalle Nacrée).
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Climat Les Grèves
L’appellation : 277 ha 74 a.
Le climat : 31 ha 33 a 30 ca.
Située au cœur du vignoble, Beaune est sans conteste sa capitale. Elle abrite des siècles d’histoire avec des trésors d’architecture et d’art dont l’Hôtel-Dieu du XVe siècle est l’un des joyaux. Presque tout le sous-sol de la ville abrite un labyrinthe de caves souterraines.
Beaune viendrait de Belenos, dieu gaulois assimilé à Apollon par les Romains. La localité devait être un lieu de culte de ce dieu. Belenos signifie également brillant et Beaune serait alors à rapprocher d’un hydronyme : (les eaux) claires.
Les Grèves vient du latin grava qui a donné gravier, grève désigne aussi un terrain sablonneux favorable à la culture de la vigne.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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L’appellation : 115 ha 82 a.
Le village de Pommard est situé entre Beaune et Volnay. À cet endroit, la Côte de Beaune s’incline légèrement du côté d’Autun. Les belles demeures et le bâti religieux indiquent que la terre a appartenu aux Ducs de Bourgogne, à de vieilles familles comme les Marey-Monge et bien sûr aux moines de Cîteaux.
Polmarcus en 885, Pommard viendrait sans doute d’un patronyme gaulois Polmarcos.
Un millésime exceptionnel malgré une année froide à maturité tardive qui vit la floraison démarrer le 9 juin et s’étirer jusqu’au 6 juillet. Septembre et octobre ont été deux mois exceptionnels avec dix heures de soleil par jour et le vent du nord comme allié contre les maladies. Les vins avaient une texture en dentelle, un fruité charnu et juteux et des tanins puissants : toutes les qualités pour affronter des décennies de garde.
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Climat Les Pruliers
Territoire
L’appellation : 136 ha 32 a.
Les climats : 7 ha 11 a 73 ca.
Gui Crescent Fagon, médecin du roi Soleil, conseilla à Louis XIV de consommer exclusivement du vin rouge, du « vieux Nuits », pour le guérir de sa goutte. La santé du roi s’améliora et la notoriété de Nuits-Saint-Georges alla crescendo.
Nuits vient de l’ancien Nuis qui serait un patronyme.
Le nom de Saint-Georges vient du IVe siècle lorsque Philibert de Mollans aurait ramené à Nuits les reliques de Georges de Lydda, martyr chrétien. Saint-Georges est devenu un saint patron de la Bourgogne.
Les Pruliers vient de prunier. Ce climat abritait en des temps lointains des arbres fruitiers.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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L’appellation : 16 ha 84 a.
Le climat : 4 ha 56 a 93 ca.
Jules Lavalle l’avait classé en « Première Cuvée » dans son classement de 1855. On estime à cette époque que « le vin du Clos de la Roche vaut celui du Clos de Tart ». Consacré Grand Cru par le décret du 8 décembre 1936, le Clos de la Roche comprend plusieurs climats : Les Fremières, Les Froichots, Les Mochamps, Les Chabiots et le bas des Monts-Luisants. En 1971, sont rajoutés par décret Genavrières et Chaffots.
Sur la commune de Morey-Saint-Denis, le nom de Clos de la Roche aurait deux origines. La première viendrait de sa situation topographique car le climat est situé « sur la roche ». La deuxième viendrait de « pierre vivante », en hommage à un dolmen gaulois disparu et voué à la célébration d’un culte druidique ou celtique.
Une bonne année qui aurait pu être grande si juillet, août et septembre avaient bénéficié d’un peu d’eau mais il n’est pas tombé une goutte de pluie pendant ces trois mois. Le résultat fut des petits rendements mais avec des raisins d’une grande concentration. Les vins étaient dotés d’arômes puissants et crémeux ; les tanins impressionnaient par leur solidité. De quoi affronter une éternité en cave avant de dévoiler leur vrai caractère.
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l'abus d'alcool est dangereux
pour la santé.
Sachez apprécier et consommer
avec modération
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